Un vétérinaire peut exercer dans son propre cabinet. Il est alors un travailleur libéral. Mais, il a encore le droit d’intégrer une structure de type SELARL. Dans les deux situations, il paye les prévoyances sociales. La CARPV est chargée de la gestion de la cotisation. Elle indemnise le zootechnicien à la suite d’une invalidité ou décès. Cependant, l’allocation est extrêmement faible. Le professionnel éprouvera alors des difficultés financières à moins de préparer son avenir le plus tôt possible.

Quelles sont les conditions d’indemnisations ?

La caisse des vétérinaires impose diverses modalités avant d’attribuer l’aide financière. Tout d’abord, le vétérinaire a droit à une pension s’il est âgé moins de 60 ans. Il faut également évaluer le degré d’invalidité. Deux méthodes de mesure sont appliquées. Il y a le taux proportionnel. Le docteur passe aussi une estimation appelée taux fonctionnel. Les deux unités de mesure montrent des résultats variables. L’organisme considère la proportion la plus favorable. Quand, l’invalidité est de 2/3, vous serez indemnisés. À partir de l’estimation, un pourcentage va encore ressortir.

Quel est le montant de l’indemnisation ?

Avec un taux de 66 %, le montant perçu est de 560 € pour une invalidité partielle. La somme est portée à 875 € dans le cadre d’une invalidité totale (100 %). À noter que les montants sont modifiés selon la classe de cotisation sélectionnée. Il existe trois classes dont le dernier permettra de faire monter l’allocation jusqu’à 1.680 € pour un handicap partiel. Le vétérinaire est affilié obligatoirement à la classe de cotisation minimum. Il peut cependant demander son intégration dans la classe médium. Il est encore autorisé à opter pour la cotisation classe maximum. Quoi qu’il en soit, les revenus mensuels couvriront difficilement vos besoins financiers réels d’où la contraction d’une prévoyance vétérinaires complémentaire.

Comment optimiser sa couverture ?

Pour éviter de dépenser des sommes importantes auprès de la CARPV. Il est conseillé de stationner sur la cotisation minimale. Vous pouvez ensuite investir des fonds importants pour une prévoyance personnalisée. Dans le cas contraire, vous n’aurez pas un revenu pour garantir des soins optimaux durant l’année de convalescence. Il est également judicieux de mettre de l’argent de côté pour payer vos collaborateurs durant l’arrêt maladie. Vous êtes tenus à vos obligations d’employeur pendant quelques mois. La charge d’exploitation doit aussi être couverte.