Le médecin, comme tout autre salarié peut être sujet d’un arrêt maladie face aux aléas de la vie. D’où la nécessité de souscrire à une assurance prévoyance médecins indépendantes maladie. Cette dernière concerne aussi bien les médecins libéraux que les médecins salariés. L’assurance maladie joue un rôle important. Comme l’indique son nom, il intervient lorsque le salarié tombe malade. Les offres sont très diversifiées et compétitives. Voilà la principale raison pour laquelle il faut trouver le meilleur contrat sur le marché. En effet, celle-ci accompagne non seulement les patients, mais également les employeurs, pendant et après la maladie. Même si votre régime obligatoire vous couvre, les garanties ne sont malheureusement pas très complètes.

Les premiers gestes en cas d’arrêt maladie

On n’est jamais à l’abri d’une quelconque maladie même si on est un médecin. Lorsqu’on est malade, la première chose à faire serait de consulter un médecin. Il est le seul capable de décider si vous pouvez continuer ou arrêter de travailler. Effectivement, si certaines pathologies sont très contagieuses, d’autres le sont moins. Il arrive alors que dans certains cas, le médecin ne puisse pas retourner sur son lieu de travail et demande une prise en charge spécifique. Lorsque le médecin traitant estime que le patient ne soit plus capable d’accomplir son travail dans de bonnes conditions, il établit un arrêt de travail, dans le cas d’une maladie ou d’une invalidité. Aussi, vous devez informer votre employeur dans le cas où vous devez vous arrêter.

Les premiers gestes en cas d’arrêt maladie

On n’est jamais à l’abri d’une quelconque maladie même si on est un médecin. Lorsqu’on est malade, la première chose à faire serait de consulter un médecin. Il est le seul capable de décider si vous pouvez continuer ou arrêter de travailler. Effectivement, si certaines pathologies sont très contagieuses, d’autres le sont moins. Il arrive alors que dans certains cas, le médecin ne puisse pas retourner sur son lieu de travail et demande une prise en charge spécifique. Lorsque le médecin traitant estime que le patient ne soit plus capable d’accomplir son travail dans de bonnes conditions, il établit un arrêt de travail, dans le cas d’une maladie ou d’une invalidité. Aussi, vous devez informer votre employeur dans le cas où vous devez vous arrêter.

Les documents indispensables à transmettre

Être médecin salarié signifie être sous la supervision d’un employeur. Aussi, lorsque vous êtes tenu d’arrêter votre travail, il est indispensable de transmettre certains documents au responsable de votre entreprise. Ainsi, l’arrêt de travail comporte trois volets dont les deux premiers sont à télétransmettre à la CPAM de Paris et le dernier est à envoyer dans les 48 heures à l’employeur qui vous emploie. Tous ces documents permettent aux patients de mettre en place l’indemnisation des jours non travaillés, que l’on appelle également les indemnités journalières. Ces documents permettent également aux patients de bénéficier d’un accompagnement adapté quant à leur retour au travail. Une visite médicale s’impose afin de faire un mis au point sur sa situation du médecin et vérifier s’il peut à nouveau occuper ou non son poste. Cette étape se révèle obligatoire pour des arrêts de plus de 30 jours.

Tout savoir sur la CARMF en cas d’arrêt de travail

La CARMF est la caisse qui comble les garanties des médecins libéraux. Elle offre de faibles protections afin de maintenir son revenu et couvrir ses frais professionnels. Il s’agit en fait d’un système de retraites médecins. Elle se révèle nécessaire surtout pour sécuriser l’activité du praticien, quelle que soit sa spécialité. Grâce à la CARMF, le professionnel peut bénéficier d’une rente ou d’un capital décès de 60 000 euros en cas de décès. Encore faut-il mentionner que les conditions varient d’un cas à un autre, et d’un patient à un autre. Un anesthésiste peut se voir refuser le service de la rente s’il est apte à exercer la profession de médecin généraliste. En fonction de votre situation, elle vous perçoit : soit de 66,86 €/jour si classe de cotisation A, de 100,29 €/jour si classe de cotisation B et de 133,72 €/jour si classe de cotisation C.

Par ailleurs, cette protection supplémentaire est donc indispensable pour le médecin libéral telle la prévoyance médecins. Vous allez donc bénéficier d’indemnités journalières pour l’arrêt maladie.